Constantin Buschmann, PDG de Brabus, est une figure emblématique de l’industrie automobile. À la tête de l’entreprise, il a contribué à hisser Brabus au rang de référence dans la modification de voitures haut de gamme. Dans cette interview réalisée par le média britannique Car, nous plongeons dans le monde automobile de Constantin Buschmann pour découvrir ses premières expériences, ses réalisations fières, et quelques anecdotes qui ont jalonné son parcours.
Parlez-nous de votre première voiture…
« Nous avions commencé à importer des camions Dodge Ram, c’était donc la première voiture que j’ai conduite. Pas une voiture facile dans les rues du centre-ville en Allemagne. »
Quelle réalisation êtes-vous le plus fier ?
« Ce que nous avons accompli avec Brabus au cours des cinq dernières années, en le propulsant vers la prochaine génération et en développant la marque avec une équipe que je considère comme la meilleure au monde. »
Quelle est la meilleure chose que vous ayez jamais faite au volant d’une voiture ?
« Un de mes trajets préférés est la Highway 1, de Los Angeles à San Diego ou San Francisco. La première fois que je l’ai fait, c’était avec une très vieille Mercedes M-Class. »
Parlez-nous d’un moment où vous avez commis une erreur…
« Laquelle choisir ? J’étais directeur des ventes et mon père et moi nous sommes disputés à propos d’une livraison de papier toilette. »
Supercar ou classique ?
« Si je devais choisir une seule voiture, ce serait probablement la Maserati GranTurismo. »
Défi de l’entreprise : à quelle vitesse la Brabus Rocket a-t-elle atteint en 2006 pour battre le record de vitesse en tant que berline homologuée pour la route ?
« De mémoire, je dirais 316,4 km/h. Attendez. C’est trop peu. Bien au-dessus de 330. » [En réalité, c’est 365,7 km/h]